Orascom : « Nous avons discuté partenariat avec Iliad »
Naguib Sawiris, le président d’Orascom, a accordé une interview au journal La Tribune à paraitre jeudi. Un temps pressenti pour être candidat à la quatrième licence mobile aux cotés de Numéricable et Virgin mobile, il s’était retiré jugeant les conditions non-favorables. Il revient sur cet épisode et explique qu’il a discuté de partenariats avec Iliad.
En France, vous avez renoncé à être candidat à la 4e licence de téléphonie mobile. Souhaitez-vous toujours vous implanter dans l’Hexagone ?
On pourrait dire, comme dans la Bible, qu’il est plus facile de faire passer un chameau dans le chas d’une aiguille que d’entrer sur le marché français ! J’en ai toujours le souhait mais je pense de plus en plus que c’est difficile.
Sur la 4e licence, le climat et les conditions n’étaient pas favorables. Il y avait trois problèmes : le déploiement des antennes n’était pas assuré, le prix n’était pas bon marché et la déclaration de M. Sarkozy n’était pas encourageante. La France est une économie très protégée, et c’est un euphémisme…
Pourriez-vous prendre pied en France par une acquisition, de Bouygues Telecom ou d’Iliad ?
Nous n’avons pas de discussions avec Bouygues au sujet de Bouygues Telecom. Nous serions intéressés s’ils avaient l’intention de vendre. Je crois toutefois que cette crise rend plus difficile d’acheter et de vendre pour tout le monde.
Quant à Iliad, j’admire beaucoup son fondateur Xavier Niel, c’est un entrepreneur, un peu comme moi. Nous avons discuté de partenariat mais pas de transaction.
Cette interview sera disponible dans son intégralité jeudi dans La Tribune
En France, vous avez renoncé à être candidat à la 4e licence de téléphonie mobile. Souhaitez-vous toujours vous implanter dans l’Hexagone ?
On pourrait dire, comme dans la Bible, qu’il est plus facile de faire passer un chameau dans le chas d’une aiguille que d’entrer sur le marché français ! J’en ai toujours le souhait mais je pense de plus en plus que c’est difficile.
Sur la 4e licence, le climat et les conditions n’étaient pas favorables. Il y avait trois problèmes : le déploiement des antennes n’était pas assuré, le prix n’était pas bon marché et la déclaration de M. Sarkozy n’était pas encourageante. La France est une économie très protégée, et c’est un euphémisme…
Pourriez-vous prendre pied en France par une acquisition, de Bouygues Telecom ou d’Iliad ?
Nous n’avons pas de discussions avec Bouygues au sujet de Bouygues Telecom. Nous serions intéressés s’ils avaient l’intention de vendre. Je crois toutefois que cette crise rend plus difficile d’acheter et de vendre pour tout le monde.
Quant à Iliad, j’admire beaucoup son fondateur Xavier Niel, c’est un entrepreneur, un peu comme moi. Nous avons discuté de partenariat mais pas de transaction.
Cette interview sera disponible dans son intégralité jeudi dans La Tribune
Publié le par La Rédaction
patrice77
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MDR