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Free croit toujours au Wimax
Le journaliste Spécialiste des Télécom et du numérique, Alain Baritault, propose sur son blog une analyse de la (non) utilisation du Wimax dans notre pays. Il a en particulier interrogé Maxime Lombardini, le directeur général de Free. L’opérateur est en effet le seul à disposer d’une licence Wimax nationale, mais à part quelques expérimentations dans le 15 ème arrondissement de Paris, il n’a jamais proposé d’offres commerciales. Si Free croit toujours en cette technologie, elle semble par contre plus ou moins abandonnée par les équipementiers. Tant que les téléphones et ordinateurs portables ne posséderont pas de puce Wimax, à l’image de ce qui existe pour le Wifi, Free ne devrait pas lancer d’offres.
Maxime Lombardini : « Le WiMax dans la bande des 3.5 GHz, personne ne l’utilise. La raison à cela est qu’il n’y a pas d’équipements de réception. On a passé beaucoup de temps avec les fournisseurs d’équipements au moment de nos expérimentations du 15ème arrondissement. Il est donc difficile de déployer un réseau lorsqu’on n’a pas les équipements pour le faire, surtout dans cette bande de fréquence élevée. On reste cependant intéressé par le WiMax qui n’est pas très éloigné du LTE en termes d’architecture du processus. On continue de croire en cette technologie, mais aujourd’hui c’est difficile de faire une offre, d’autant qu’il n’y a pas d’accord d’itinérance possible avec d’autres opérateurs. Ca reste un espoir mais c’est pas quelque chose d’opérationnel à court terme ».
Maxime Lombardini : « Le WiMax dans la bande des 3.5 GHz, personne ne l’utilise. La raison à cela est qu’il n’y a pas d’équipements de réception. On a passé beaucoup de temps avec les fournisseurs d’équipements au moment de nos expérimentations du 15ème arrondissement. Il est donc difficile de déployer un réseau lorsqu’on n’a pas les équipements pour le faire, surtout dans cette bande de fréquence élevée. On reste cependant intéressé par le WiMax qui n’est pas très éloigné du LTE en termes d’architecture du processus. On continue de croire en cette technologie, mais aujourd’hui c’est difficile de faire une offre, d’autant qu’il n’y a pas d’accord d’itinérance possible avec d’autres opérateurs. Ca reste un espoir mais c’est pas quelque chose d’opérationnel à court terme ».
Publié le par La Rédaction
caugeck
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