Le mois de mai en approche, Amazon Prime Video dévoile (...)
Chaque mois, Amazon Prime Video enrichit son catalogue avec l’ajout de nouvelles séries (...)
Selon Christine Albanel l’accès à internet n’est "pas un droit fondamental"
Aujourd’hui, la ministre de la Culture Christine Albanel a affirmé que l’accès à internet ne pouvait pas "être considéré comme un droit fondamental", lors de l’examen de la loi HADOPI à l’Assemblée.
Mme Albanel rajoute que "nous savons bien l’importance qu’il revêt dans tous les secteurs de la vie actuellement, mais avoir chez soi un accès à internet, sachant qu’on peut avoir accès à internet partout ailleurs, ne peut pas pas être qualifié de droit fondamental. Ce serait aller trop loin".
Les députés débattaient d’un amendement de l’UMP Patrice Martin-Lalande qui visait à introduire dans le texte le fait que "l’accès à internet constitue un droit fondamental". Le rapporteur UMP du texte Franck Riester a estimé que "les internautes qui verront leur abonnemment suspendu pouront aller dans une mairie, une bibliothèque ou un café internet".
L’opposition a souligné "le caractère contradictoire" de la position du gouvernement par rapport au plan "France Numérique 2012" présenté en octobre par Eric Besson. "Peu à peu, internet devient un droit essentiel pour être inséré dans la société", a argumenté Martine Billard (Verts) alors que le socialiste Christian Paul a estimé que "porter atteinte à la liberté de communication, c’est porter atteinte à un droit essentiel".
Source : AFP
"L’accès à internet ne peut pas être considéré comme un droit fondamental."
Mme Albanel rajoute que "nous savons bien l’importance qu’il revêt dans tous les secteurs de la vie actuellement, mais avoir chez soi un accès à internet, sachant qu’on peut avoir accès à internet partout ailleurs, ne peut pas pas être qualifié de droit fondamental. Ce serait aller trop loin".
Les députés débattaient d’un amendement de l’UMP Patrice Martin-Lalande qui visait à introduire dans le texte le fait que "l’accès à internet constitue un droit fondamental". Le rapporteur UMP du texte Franck Riester a estimé que "les internautes qui verront leur abonnemment suspendu pouront aller dans une mairie, une bibliothèque ou un café internet".
L’opposition a souligné "le caractère contradictoire" de la position du gouvernement par rapport au plan "France Numérique 2012" présenté en octobre par Eric Besson. "Peu à peu, internet devient un droit essentiel pour être inséré dans la société", a argumenté Martine Billard (Verts) alors que le socialiste Christian Paul a estimé que "porter atteinte à la liberté de communication, c’est porter atteinte à un droit essentiel".
Source : AFP
Publié le par Bertrand Hersent