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La 4eme licence 3G est à 98% enterrée
Les copinages de l’Elysée auront finalement eu raison du développement de la concurrence dans le mobile. C’est le Figaro qui le révèle, le plan numérique, que Nicolas Sarkozy présentera le 20 octobre prochain, devrait annoncer le partage de la dernière licence 3G entre les 3 acteurs déjà présents : SFR, Bouygues et Orange. Même si des modifications peuvent être apportées jusqu’au dernier moment, un proche du dossier affirme que «la 4e licence c’est à 98 % enterrée». Alors que tous, de l’ARCEP à l’UFC Que choisir en passant même par certains ministres du gouvernement, se sont prononcés pour l’arrivée d’un nouvel entrant dans le secteur du mobile, Nicolas Sarkozy aura donc privilégié ses amis, et en particulier Martin Bouygues, au détriment du pouvoir d’achat des français. Free avait en effet annoncé qu’il souhaitait faire économiser 1000€ par an et par foyer disposant de 3 abonnements au mobile. Et on pouvait faire confiance à Free pour faire baisser les prix dans le mobile comme il l’a déjà fait dans l’ADSL.
Licence mobile ou comment tuer un nouvel entrant
Seule consolation, les fréquences « en or », libérées par l’arrêt de la télévision analogique, permettraient à un nouvel opérateur de rentrer sur ce marché à partir de 2012. Mais cela se fera au prix fort : entre 1,5 et 3 milliards d’euros, contre 619 millions d’euros pour une licence 3G. Certes ces fréquences permettent une très bonne propagation des ondes et donc nécessitent un réseau moins coûteux, mais à ce tarif, l’arrivée d’un nouvel entrant risque bien d’entre compromise. D’ici là, les opérateurs mobile actuels, qui pratiquent les tarifs parmi les plus élevés d’Europe, pourront tranquillement continuer à tondre les français.
Licence mobile ou comment tuer un nouvel entrant
Seule consolation, les fréquences « en or », libérées par l’arrêt de la télévision analogique, permettraient à un nouvel opérateur de rentrer sur ce marché à partir de 2012. Mais cela se fera au prix fort : entre 1,5 et 3 milliards d’euros, contre 619 millions d’euros pour une licence 3G. Certes ces fréquences permettent une très bonne propagation des ondes et donc nécessitent un réseau moins coûteux, mais à ce tarif, l’arrivée d’un nouvel entrant risque bien d’entre compromise. D’ici là, les opérateurs mobile actuels, qui pratiquent les tarifs parmi les plus élevés d’Europe, pourront tranquillement continuer à tondre les français.
Publié le par Fouzi Habibi, La Rédaction
kata