Des riverains se disent "sonnés" en voyant surgir un pylône de Free Mobile
Encore une antenne-relais Free Mobile ne faisant pas l’unanimité au sein des riverains. Se disant surpris par le choix du lieu d’implantation et déplorant une atteinte à l’esthétique des lieux, les opposants réclament ainsi l’arrêt des travaux et la délocalisation de l’installation.
L’arrivée d’une antenne-relais Free Mobile à Figeac, dans le département du Lot, s’accompagne de quelques remous. Les habitants de la rue du Champ Saint-Barthélemy, près du stade du Calvaire, affichent à la fois leur inquiétude et leur colère. Ils n’en veulent pas.
Les habitants ont en effet dénoncé une "verrue" dans un secteur classé. "C’est aberrant de laisser planter une antenne au-dessus de nos têtes alors qu’on est au cœur de la ville, dans un secteur classé", s’est indignée une mère de famille. La question sanitaire a été également été soulignée en raison de la proximité d’habitations, d’un collège et d’un lycée.
Crédit Photo La Dépêche
Dans un premier temps, les opposants disent avoir été "sonnés", en raison d’un manque de communication autour du projet, avec par-dessus un mauvais accueil lors de la demande d’informations auprès de la mairie. Ceux-ci indiquent également ne pas avoir été vigilants, car il y a souvent des travaux dans le stade et parce que le pylône de 30 mètres remplace en fait un mât plus petit de 7 mètres pour l’éclairage. Les opposants soulignent d’ailleurs que tout est allé très vite, avec des travaux réalisés en plein été, le temps d’une matinée. "Une très mauvaise surprise" à leurs yeux.
Les opposants envisagent la création d’un collectif et une rencontre avec le maire pour faire stopper les travaux et obtenir le déplacement de l’installation.
Source : La Dépêche via Media7
Rog46
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"Sonnés" qu'ils disent dans l'article de la Dépêche ! Le panneau obligatoire préalable à tous les travaux se trouve à l'entrée du stade depuis 2018 !!! Le "bout de ferraille" correspond à un quatrième poteau qui éclaire le stade et permettra de mieux couvrir les abonnés dans la ville et sur les écarts Est, en particulier. Ne parlons pas de dangerosité, ou alors parlons-en avec l'ANFR et pas avec des complotistes qui, après les antennes s'en prendront aux vaccins et à des tas d'autres choses ... se plaignant par exemple du fait que l'ON veuille nous couper les communications ...