Applications de traçage : pas de bonne ou mauvaise réponse, selon un spécialiste de la sécurité
Aux yeux de Kaspersky, il n’y a pas de mauvaise ou bonne réponse parmi les applications de traçage actuellement envisagées.
Dans le cadre d’une téléconférence, Costin Raiu, de la société de sécurité informatique Kaspersky, s’est exprimé sur le débat entre les deux architectures envisagées pour les applications devant accompagner le déconfinement de la population. L’architecture centralisée voulue par les applications française et allemande permet le recoupement des informations pour vérifier que utilisateur n’a pas croisé une personne contaminée avec l’aide d’un ordinateur central. Dans le cas de l’architecture décentralisée, celle proposée par Apple et Google, la phase sensible de vérification se ferait depuis le smartphone.
Selon Costin Raiu , "c’est un peu comme le vieux débat sur les espaces ou les tabulations" dans le monde des développeurs. Il note qu’"il y a beaucoup de discussions autour de ce sujet", mais qu’"il y a un moment où cela devient une question de préférence". Si l’architecture décentralisée est préférée par les défenseurs de la privée, Costin Raiu souligne qu’elle devrait avoir besoin de ressources dans le Cloud pour fonctionner. "Je ne pense pas qu’il y ait une bonne réponse et une mauvaise réponse. Ce sont des solutions différentes, et ce sera aux gouvernements de trancher", a-t-il résumé.
Rappelons que la société de sécurité Kaspersky est beaucoup engagée dans la vie privée. Elle compte notamment sur sa brigade d’influenceurs pour communiquer auprès de leurs communautés respectives à propos des risques liés au numérique.
Source : AFP
BobLEdébricoleur
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Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise réponse.
Moi, si je devais résumer le Covid aujourd'hui, avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui se sont tendu la main, peut-être à un moment où ils ne pouvais pas, où ils étaient seul chez soi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une épidémie…
Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer.
Alors ça n’est pas notre cas, comme je disais là, puisque au contraire, nous avons pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie… je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui se disent « Mais comment faire pour avoir cette confiance a notre gouvernement ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui nous pousse aujourd’hui à entreprendre un confinement massif mais demain qui sait ? Peut-être simplement à se mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi…