Un ingénieur d’Apple kidnappé pour révéler des codes : un scénario improbable imaginé par le FBI

GG
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-1595 points

Posté le 07 mars 2016 à 18h08 Citer le commentaire

Cela m'étonnerait qu'on voit jamais un employé d'Apple dans la dèche.

skrool
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1239 points

Posté le 07 mars 2016 à 18h24 Citer le commentaire

De nos jours, la question n'est pas de savoir si l'improbable est possible, mais ou, quand, et comment il peut se produire.

poupon
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3833 points

Posté le 07 mars 2016 à 18h38 Citer le commentaire

ils sont grave avec cette affaire ! d'un coté merci apple pour protéger nos données et d'un autre coté faut bien auder le fbi à choper ses connards ! Pfff pas facile !!

poupon
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3833 points

Posté le 07 mars 2016 à 18h39 Citer le commentaire

aider

MAKKé
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906 points

Posté le 07 mars 2016 à 18h47 Citer le commentaire

GUENTANAMO pour les geek apple... lol

Jeff06am
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2526 points

Posté le 07 mars 2016 à 18h52 Citer le commentaire

poupon a écrit

ils sont grave avec cette affaire ! d'un coté merci apple pour protéger nos données et d'un autre coté faut bien auder le fbi à choper ses connards ! Pfff pas facile !!

C'est vrai. Le truc c'est que si on donne l'accès au appareils iOS, les criminels (terroristes) trouveront une nouvelle filouterie afin de passer sous les radars etc. C'est un cercle vicieux.

Et chaque pas vers la surveillance empiète un peu sur nos libertés individuelles.

sicoreme
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6892 points

Posté le 07 mars 2016 à 18h53 Citer le commentaire

Panique chez les concepteurs?

Encore que les employés n'ont pas de poids sur la stratégie des fabricants

gilesrm
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289 points

Posté le 07 mars 2016 à 19h02 Citer le commentaire

Ce n'est pas exactement ce qu'a dit James B Come/ Vous trouverez sur le site du DoJ le text intégral de sa déposition.

http://1.usa.gov/1oNFkvF et https://www.fbi.gov/news/testimony/fbi-budget-request-for-fiscal-year-2017

Le scenario du kidnapping est peu probable mais certainement pas impossible. Ce n'est pas tellement éloigné de celui assez souvent répété de braqueurs se faisant accompagner par ke directeur de la banque pendant que sa famille est prise en otage. Bien sûr des contremesures ont été prise depuis.

samesuffit

Posté le 07 mars 2016 à 21h35 Citer le commentaire

Je suis désolé, mais j’ai plus l’impression de lire dans ce billet les réquisitions d’un procureur que les arguments d’un avocat de la défense.
Je ne crois pas être tenu de traduire à des enquêteurs des propos que j’aurais tenu dans mon « patois » ou de leur répéter tout haut des chuchotements auxquels je me serais livré sous la douche, et ce sans qu’il soit remis en question leur capacité accordée par un juge d’instruction à perquisitionner mon domicile.
Je ne crois même pas que je serais tenu de leur déchiffrer le tableau « codé » d’un artiste exposé sur un de mes murs si tant est que ces « pieds plats » pouvaient imaginer que ledit tableau pouvait contenir un message chiffré.
Je ne suis absolument pas concerné par Apple et sa politique commerciale quand je ne sais même où dénicher mon antique téléphone portable les rares fois où je crois utile de l’avoir (batterie chargée de préférence) à portée de main, mais il me semble bien (surtout dans le droit US) que nul n’est tenu de fournir à la police des éléments pouvant l’incriminer, ne serait-ce que parce qu’il est présumé innocent.
Le « nul » (c’est le cas de le dire !) en question étant décédé dans cette affaire titillant le FBI, Apple se retrouve de facto dans la même situation que son « psy », son éventuel « confesseur » ou son avocat et n’est pas tenu par la constitution de livrer à la police/justice des éléments pouvant incriminer un « mandant » auquel il a été vendu de la confidentialité.
Ma sécurité (celle qui fait partie intégrante de ma liberté), c’est de n’autoriser personne (et surtout pas la police) à écouter toutes mes conversations, et tant pis si ça offre l’occasion à un « terroriste » (pas beaucoup plus nombreux que 1/10 millions d’habitants de la planète) de s’en prendre à mon intégrité physique.
Je crains beaucoup plus d’un authentique état policier que d’un (souvent fantasmé) « terrorisme islamique »... d’autant que j’aurais beaucoup plus de scrupules à répliquer manu-militari au premier s’il était promu par la (prétendue) république que si je le voyais surgir des égouts de l’évolution de l’humanité comme le second.

Le gros défaut dans cet argumentaire est qu’il ne tient pas compte des principes de base du bon sens...
Que les prestataires gardent une copie de la clé de chiffrement ? Voudrions nous que les fabricants de serrures gardent une copie de la clé de chaque porte de chaque citoyen ? Quelle confiance leur accorder ? ?
Aujourd’hui, le FBI dispose déjà d’une pléthore de données fournies par Apple mais pas que : les opérateurs ont largement contribué à aider en fournissant les méthadonnees de connexion. Ils savent déjà quand, combien de fois et avec qui les terroristes ont communiqué.?La NSA elle même dit que ces informations sont largement plus importantes que la teneur des messages elle même...
Le problème dans toute cette histoire est que les réalités informatiques sont très proches des réalités du monde physique : vouloir une backdoor dans un système de chiffrement peut sembler légitime mais c’est aussi idiot que réclamer une serrure ouvrable par n’importe qui... Plus aucune protection n’existe dans ce cas...?Et ça n’empêcherait aucunement les terroristes de chiffrer fortement d’une manière totalement indépendante de tout constructeur ou de tout editeur : l’implementation des algorithmes de chiffrement est un exercice commun donné aux étudiants de 2e année en école d’ingénieur ou de fac de maths. Et sans parler du nombre de logiciels à sources ouvertes existants déjà sur le marché.?Et il faudrait être sacrément naïf pour croire que le terrorisme international ne disposerait pas de qq membres ayant ce genre de capacité. Car il suffit d’un ou deux ingénieurs par trop mauvais pour produire une solution maison.?À qui ira t’on réclamer les clés dans ce cas ? ? ? ?Allons nous affaiblir notre sécurité dans ce cas ? Quelle bêtise...

Voilà, soit les politichiens pensent qu’ils peuvent interdire les mathématiques et sont donc complétement cons, soit leur but est de pouvoir espionner tous les citoyens et sont donc comme les dictateurs qui chient sur les droits de l’Homme.

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L’ONU estime que déchiffrer un iPhone reviendrait à ouvrir une « boîte de Pandore ». - SIPA?1 / 1???
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Déchiffrer un iPhone serait ouvrir « une boîte de Pandore » pour l’organisation internationale. La police fédérale américaine (FBI) demande l’aide d’Apple pour déverrouiller l’iPhone d’un des assaillants de la fusillade de San Bernardino, en Californie.
Dans le débat Apple contre FBI, l’Organisation des nations unies (ONU) choisit Apple. Pour Zeid Ra’ad Al Hussein, Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme, forcer Apple à se plier à une injonction judiciaire pour qu’il aide le FBI à accéder au contenu d’un iPhone risque d’avoir des conséquences négatives dans le monde entier.
« Dans le but de régler un problème de sécurité relatif au chiffrement des données dans un cas bien précis, les autorités risquent d’ouvrir la boîte de Pandore, avec des implications qui pourraient être extrêmement dommageables pour les droits de l’Homme de millions de personnes, y compris pour leur sécurité physique et financière », a déclaré Zeid Ra’ad Al Hussein.
Sécurité contre vie privée
La police fédérale américaine (FBI) demande l’aide d’Apple pour déverrouiller l’iPhone d’un des assaillants de la fusillade de San Bernardino (Californie). Cette attaque lancée par un couple de musulmans radicalisés avait fait 14 morts début décembre. Mais cette demande a été refusée fermement par Apple, qui la compare à un « cancer ». Si le FBI demande à Apple la clé de chiffrement, c’est que seul le propriétaire de ces téléphones réputés inviolables dispose de cette clé.
L’intervention de l’ONU dans le débat qui oppose les autorités américaines à la firme de Cupertino montre bien les implications d’une affaire où se sont positionnés tous les géants de la tech. Deux camps s’opposent, entre sécurité et vie privée. Google, Microsoft ou Facebook ont rejoint le camp d’Apple, qui plaide aujourd’hui pour que le code informatique soit reconnu comme faisant partie de la liberté d’expression. Dans le même temps, le FBI, soutenu par les victimes de San Bernardino, a démenti vouloir casser le chiffrement de l’iPhone incriminé, tout en justifiant sa position.
« Un cadeau fait aux régimes autoritaires »
« Un succès dans l’affaire contre Apple aux Etats-Unis établirait un précédent qui pourrait rendre impossible pour Apple ou toute autre société informatique internationale majeure de protéger la vie privée de ses clients partout dans le monde », a averti Zeid Ra’ad Al Hussein. « Cela pourrait être un cadeau fait aux régimes autoritaires et aux pirates informatiques », a-t-il jugé.

Amazon ne chiffrera plus ses Kindle Fire
Amazon a discrètement mis fin vendredi à une fonction de chiffrement sur ses tablettes Fire en faisant valoir que le dispositif était peu utilisé par ses utilisateurs. Une décision surprenante, alors qu'Amazon fait partie des géants de la technologie qui ont apporté hier leur soutien à Apple.?
Le haut-commissaire assure que le FBI « mérite l’appui sans réserve de tout un chacun dans son enquête sur les meurtres de San Bernardino », mais qu’il existe « de nombreux autres moyens pour enquêter et découvrir si les meurtriers avaient des complices, en dehors de forcer Apple à créer un logiciel pour affaiblir les dispositifs de sécurité de ses propres téléphones ».

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taduarial
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16405 points

Posté le 07 mars 2016 à 23h21 Citer le commentaire

un plan Com, bien joué Apple.

C'est comme la fausse formule secret du Coca Cola. Allez je la donne: de l'eau, du sucre et des produits chimiques... Bref du vent.

GG
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-1595 points

Posté le 08 mars 2016 à 08h13 Citer le commentaire

taduarial a écrit

un plan Com, bien joué Apple. C'est comme la fausse formule secret du Coca Cola. Allez je la donne: de l'eau, du sucre et des produits chimiques... Bref du vent.

Aucun rapport. Apple a dit non. C'est tout. La presse et le FBI ont fait le reste.

christophedlr
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1536 points

Posté le 08 mars 2016 à 13h22 Citer le commentaire

Vu la réponse d'Apple, cela veut dire : "si on vous kidnappe et demande de coder une backdoor, surtout faite le", en gros c'est : "faites en sorte qu'on pirate nos clients".

christophedlr
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1536 points

Posté le 08 mars 2016 à 13h26 Citer le commentaire

skrool a écrit

De nos jours, la question n'est pas de savoir si l'improbable est possible, mais ou, quand, et comment il peut se produire.

C'est pourquoi le FBI, à une division dont la seule chose qui est faite toute la journée, c'est trouvé des scénarios jugés improbables et trouver comment désamorcer le problème si ça venait à arriver. Le but étant d'être préparé à toutes les éventualités possible.

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taduarial
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16405 points

Posté le 08 mars 2016 à 18h12 Citer le commentaire

GG a écrit

taduarial a écrit un plan Com, bien joué Apple. C'est comme la fausse formule secret du Coca Cola. Allez je la donne: de l'eau, du sucre et des produits chimiques... Bref du vent. Aucun rapport. Apple a dit non. C'est tout. La presse et le FBI ont fait le reste.

ben si l'opération "com"d'Apple est ici: "Mais la marque à la pomme prend également cette menace au sérieux : certains salariés ont reçu des consignes spécifiques, comme de satisfaire toutes les demandes des ravisseurs sans jouer aux héros, en cas de kidnapping."

Un ingénieur d’Apple kidnappé pour révéler des codes : un scénario improbable imaginé par le FBI

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