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Les éditeurs de VOD se satisfont de leurs offres
L’AFP rapporte que les *éditeurs de services de Vidéo à la Demande (VoD) ont affirmé mardi dans un communiqué commun qu’il existe "un grand nombre" d’offres légales de VoD disponibles pour les internautes et que cela "ne cesse d’augmenter". "Les internautes peuvent avoir accès à toutes les oeuvres qu’elles soient récentes ou de catalogue, dès lors que les ayants droit, auteurs et producteurs en autorisent la mise en ligne, dans les délais légaux", assure le syndicat.
Selon les éditeurs, "l’offre légale existe" et "ne cesse d’augmenter", mais son équilibre économique dépend "de la mise en oeuvre de moyens visant à restreindre les usages illégaux et la contrefaçon qui lui font une concurrence déloyale".
Le syndicat entend ainsi répondre aux arguments avancés par les adversaires du projet de loi Hadopi qui stigmatisent l’insuffisance de l’offre légale.
A l’évidence, ces éditeurs feignent de pas comprendre l’argumentaire des opposants à l’Hadopi. Ce qui est mis en cause n’est pas le nombre d’offres, mais l’attractivité de celles-ci. D’une part les tarifs pratiqués sont identiques d’une offre à l’autre, mais ils sont très élevés par rapport à la location d’un DVD en vidéo club.
Si sur la Freebox (TF1 Vision et Canalplay) les nouveautés sont affichées à 3,99€, ces 2 mêmes plateformes les proposent à 4,99€ sur internet. Ne parlons pas de la version HD de ces films qui est proposée au tarif de 6€ ! Il n’y a pourtant aucune justification à ces tarifs puisque non seulement le coût de diffusion est inférieur à celui des vidéo clubs, mais les films sont proposés sans aucun des bonus disponibles sur le DVD.
Le nombre de plateformes n’a donc aucun intérêt tant que les offres proposées ne seront pas attractives. Cela passe par un raccourcissement important des délais entre la sortie en salle et la mise en location, un baisse significative des tarifs ainsi qu’un catalogue exhaustif (même si pour ce dernier point, il faut accorder à Canalplay d’avoir fait un effort important)
Certains éditeurs ont pourtant apporté des solutions, comme Free, Vodéo ou Numéricable qui ont développés des systèmes de SVOD (vidéo à la demande par abonnement) à des tarifs attractifs. Mais les nouveautés cinématographiques ne sont pas encore concernées par ces formules.
*Le syndicat des éditeurs de VOD regroupe entre autres : Canal Play, TF1 Vidéo, France Télévisons Interactive, Arte France, Glowria, Filmo TV, Univers Ciné, MK2 Vidéo, INA, M6 VoD, Vodéo, Iminéo et Virgin.
Selon les éditeurs, "l’offre légale existe" et "ne cesse d’augmenter", mais son équilibre économique dépend "de la mise en oeuvre de moyens visant à restreindre les usages illégaux et la contrefaçon qui lui font une concurrence déloyale".
Le syndicat entend ainsi répondre aux arguments avancés par les adversaires du projet de loi Hadopi qui stigmatisent l’insuffisance de l’offre légale.
A l’évidence, ces éditeurs feignent de pas comprendre l’argumentaire des opposants à l’Hadopi. Ce qui est mis en cause n’est pas le nombre d’offres, mais l’attractivité de celles-ci. D’une part les tarifs pratiqués sont identiques d’une offre à l’autre, mais ils sont très élevés par rapport à la location d’un DVD en vidéo club.
Si sur la Freebox (TF1 Vision et Canalplay) les nouveautés sont affichées à 3,99€, ces 2 mêmes plateformes les proposent à 4,99€ sur internet. Ne parlons pas de la version HD de ces films qui est proposée au tarif de 6€ ! Il n’y a pourtant aucune justification à ces tarifs puisque non seulement le coût de diffusion est inférieur à celui des vidéo clubs, mais les films sont proposés sans aucun des bonus disponibles sur le DVD.
Le nombre de plateformes n’a donc aucun intérêt tant que les offres proposées ne seront pas attractives. Cela passe par un raccourcissement important des délais entre la sortie en salle et la mise en location, un baisse significative des tarifs ainsi qu’un catalogue exhaustif (même si pour ce dernier point, il faut accorder à Canalplay d’avoir fait un effort important)
Certains éditeurs ont pourtant apporté des solutions, comme Free, Vodéo ou Numéricable qui ont développés des systèmes de SVOD (vidéo à la demande par abonnement) à des tarifs attractifs. Mais les nouveautés cinématographiques ne sont pas encore concernées par ces formules.
*Le syndicat des éditeurs de VOD regroupe entre autres : Canal Play, TF1 Vidéo, France Télévisons Interactive, Arte France, Glowria, Filmo TV, Univers Ciné, MK2 Vidéo, INA, M6 VoD, Vodéo, Iminéo et Virgin.
Publié le par La Rédaction